Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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L'âme de la France

04/09/2009 11:32

L'âme de la France


L’âme de la France , Une histoire de la nation des origines à nos jours

de Max Gallo 

 

Editeur : Fayard

Parution : 28/02/2007

Collection : Documents

Description : 608 pages; (24 x 16 cm)

EAN13 : 9782213630076 

 

Présentation de l’éditeur 

Qui connaît encore l’histoire de la France  ? On ne la raconte plus et on ne l’enseigne que par lambeaux. On l’accable bien souvent, sans entendre sa voix.

Max Gallo retisse cette trame millénaire qui a donné naissance à la nation française. Il suit les mouvements d’une immense fresque : des premiers hommes qui ont habité et peuplé de leurs songes les grottes du Périgord jusqu’à ce début de XXIe siècle. Il ne dissimule rien, ni la gloire ni le désastre, ni le rayonnement des Lumières ni les rapines et les saccages des armées conquérantes. Mais son récit va au-delà du portrait des grands acteurs et du déroulement des événements. Il montre comment, génération après génération, depuis la préhistoire jusqu’à nos jours, se sont constituées sur notre sol des manières d’être, de penser et de croire, d’éprouver, d’agir et de réagir, d’approuver et de se révolter, qui ont composé, touche après touche, l’âme de la France.

Celle-ci est au cœur de ce livre. Max Gallo éclaire, par l’histoire, nos comportements, nos faillites, nos redressements et, en racontant la genèse de l’âme de la France , il dévoile notre présent. On ne peut changer la France qu’en ne trahissant pas son âme. Selon Renan, "tous les siècles d’une nation sont les feuillets d’un même livre". Ce livre, Max Gallo l’a écrit.






Urgence sociale

03/09/2009 16:40

Urgence sociale


Urgence Sociale
Un livre de Pierre Larrouturou
Editeur : Ramsay
Date de parution : 15/03/2006
EAN13 : 9782841147953

 

 

Un constat sur la situation d’urgence sociale, un portrait réaliste de la caste politique, le tout dans un style clair, abordable pour tous. Egalement des solutions concrètes qui n’ont toujours pas été privilégiés par nos gouvernants





Sommes-nous en train de sortir de la crise ?

03/09/2009 16:24

Sommes-nous en train de sortir de la crise ?


Une rentrée économique pour le moins préoccupante

Par Jean-Pierre GÉRARD, Vice-Président de DLR, ancien membre du CPM, président de N°1 mondiaux de l’UE, chef d’entreprise

La quasi-totalité des analystes économiques (le fameux consensus d’experts cher à Jean-Claude Trichet) acceptent l’augure d’une reprise de l’activité. Chacun y va de son intense satisfaction. C’est grâce au plan de relance, c’est grâce à l’action du chef de l’Etat. C’est grâce à la politique monétaire de la FED, de la Banque Centrale Européenne. Bref les satisfécits de pleuvoir d’autant plus drus que les mêmes n’avaient rien vu venir et n’ont pas compris et ne comprennent toujours pas, que rien n’est réglé. La morphine monétaire a fait son effet mais l’ensemble du monde est devenu monétaro morphinomane, sans que qui que ce soit envisage de changer son style de vie, son rôle dans le monde et surtout n’abandonne les dogmes et théories stupides, qui utiles pour soutenir la réflexion comme toutes les théories, se révèlent à l’usage complètement inadaptées tant les conditions de validité de ces théories sont loin d’être réunies.
Tout d’abord des réflexions de bon sens.
- La dictature des pourcentages pris dans n’importe quel sens nous conduit à de graves erreurs d’analyse. Ainsi on affirme avoir une reprise de 0,3%, après 3 trimestres de baisses consécutives de 0,2%, 1,5%, et 1,2%. Partant d’une valeur de 100, cela nous donne une valeur du PIB de 97,32 auquel une croissance de 0,3 donnera une valeur de 97,61. Or le Pib étant de 1800 milliards d’€, cela signifie que le Pib a perdu 43 milliards d’€. Sachant que la VA par personne est en moyenne de 60000 €, cela nous conduit à des équivalents emplois de 700000 personnes, et les fameux 0,3% du 2ème trimestre ne pèsent pas lourds.
- Il est en outre fort vraisemblable que tous ces chiffres soient biaisés par la spécificité française du poids administratif. Sachant que la « production des administrations » est comptabilisée au coût des facteurs (puisque nous n’avons pas de prix des administrations) et que par ailleurs les coûts des dites administrations ont continué d’augmenter, il en résulte mécaniquement que le tissu productif français s’est encore affaibli.
- On se réfère à la tenue du marché boursier pour espérer la reprise. Or ce marché est toujours au mois d’août sujet à de variations erratiques qui n’ont que peu de signification, eu égard au petit nombre des transactions.
- Par ailleurs l’évolution favorable de la bourse n’est pas significative de l’amélioration de l’activité, je pense même que c’est souvent le contraire. Les masses monétaires disponibles sont infiniment plus importantes en valeur que la masse des opportunités d’investissement dans les financements des entreprises. Mécaniquement il en résulte une appréciation des valeurs mobilières.
Alors autant le dire tout net, je ne crois pas à la résorption des difficultés, ni même à une reprise durable, car trop peu de choses ont changé pour que cela se passe. Passons en revue les différents éléments qui me conduisent à cette analyse.
- Du côté positif de la balance mettons l’extinction de l’explosion financière de septembre 2008. Due aux subprimes, elle a été étouffée par la mise sur le marché monétaire de masses considérables. Je pense qu’une fois l’explosion arrivée il n’y avait guère d’autre moyen de faire autrement. Si la Fed a réagi rapidement, on peut quand même constater que la Banque Centrale Européenne a lamentablement tardé à baisser les taux d’intérêts et je ne pense pas que Jean-Claude Trichet l’ait fait de gaité de cœur mais sans doute forcé par les responsables politiques. Le drame c’est qu’on a étouffé l’explosion en la noyant sous de l’explosif.
- Mais avait-on les moyens de faire autrement, car il fallait gagner du temps et éviter une contagion qui aurait pu être dramatique. Cette méthode était la seule possible et disponible à court terme. D’ailleurs on n’avait pas traité autrement toutes les crises précédentes, Mexique, Argentine Thaïlande, faillite du fonds LTCM et j’en passe comme la bulle internet.
Mais la procédure d’urgence ne doit pas masquer toutes les conséquences négatives qui en sont résulté pour l’économie. Car à chaque crise après avoir affirmé qu’on a pris toutes les mesures, tout recommence comme avant, et la pseudo-croissance induite par l’inflation de la valeur des actifs entraîneront de nouveau les mêmes explosions. La crise mexicaine a été moins grave que celle de la Thaïlande ou que celle de LTCM, mais à chaque fois la masse monétaire croissait et avec elle la valeur des actifs dont la rentabilisation dès lors devenait de plus en plus difficile. Aujourd’hui encore nous n’échapperons pas à ce scénario.
- Tout d’abord pour la première fois, les actifs toxiques des banques ne sont pas des surévaluations d’actifs réels correspondant à une mesure faussée de la réalité, mais à de faux actifs puisqu’il s’agit de créances garanties par des dettes irrécouvrables. Ces fameux dérivés qui, en fait, ont été le moyen pour les banques de mutualiser leurs risques. Surévaluer un actif réel, c’est peu recommandable mais quand j’ai une maison, qu’elle vaille 500 ou 200 mille euros n’a que peu de signification car c’est ma maison et je l’habite. Si je la vends il ne s’agit guère que d’une réallocation des actifs sans conséquences graves. En revanche une créance garantie par une dette irrécouvrable ne vaut rien. Or les estimations faites par quelques uns qui s’y sont risqués est au minimum de 70000 milliards de $, et au maximum de 400000 milliards de $. La richesse mondiale pour autant qu’on puisse l’évaluer, se situerait aux alentours de 70 à 80000 milliards de $.
- Il faudra donc bien passer ces pertes et pour l’instant le moins que l’on puisse dire, c’est que les banques ne se précipitent pas. Chaque banque espère s’en tirer en retardant le plus possible l’échéance de la passation des provisions.
Mais laissons de côté cette comptabilité bancaire faite de sous estimation du risque pour nous intéresser aux effets sur l’économie réelle.
- La première conséquence entraine la léthargie du financement des projets nouveaux et de l’éventuel redémarrage de l’activité. Les banques sont obligées d’accroître leurs profits et elles le font de 3 manières (sans compter l’augmentation des tarifs bancaires). Elles ont une ressource à bas prix avec le financement des banques centrales à quasiment Zéro, elles ont maintenu les taux d’intérêts des fonds prêtés à un niveau élevé, (il est vrai que le Président s’en est ému et que certaines baisses se sont manifestées) mais elles ont considérablement limité leurs financements aux entreprises sous prétexte de risques de ceci ou de cela, et la le pouvoir politique ne peut rien faire sauf à renationaliser les banques.
- La deuxième conséquence consacre l’irresponsabilité bancaire. A quoi bon la prudence puisqu’on sait que toujours les Etats viendront renflouer les banques. De fait le gouvernement s’est laissé convaincre qu’il fallait sauver les banques, alors que c’était les fonctions aujourd’hui remplies par les banques qu’il faut pérenniser.
- La troisième conséquence c’est la disparition de tout un tissu qui ne renaitra pas. Déjà la France avait du mal à faire émerger des activités pérennes.
- La quatrième erreur est celle de l’emprunt. Comment un pays endetté de plus de 2000 milliards d’€ selon les chiffres officiels du rapport Pébereau peut il envisager de faire un emprunt. On ne fait pas d’un emprunt une politique. L’emprunt est un moyen pour financer des activités dont la rentabilité attendue doit être supérieure au cout de cet emprunt. Or qu’y a-t-il dans les tuyaux, rien si ce n’est des projets à la rentabilité plus que douteuse (TGV pour concurrencer l’avion sur Nice, c’est à dire on finance un projet à la limite de rentabilité pour la SNCF, et on tue un investissement déjà réalisé par Air France, belle utilisation d’un emprunt national !)
- Enfin à beaucoup plus long terme, nous aurons des mécanismes qui viendront nécessairement limiter le potentiel de croissance réelle, avec l’inévitable inflation et la croissance de la fiscalité. Il apparait clairement en outre que le G20 compte sur la réglementation pour que les risques soient écartés, et personne ne veut ou peut définir des règles de fonctionnement stable, ni créer les règles de non contamination quand la catastrophe se produit. Pour donner une image, la politique de prophylaxie mise en œuvre pour la Grippe porcine prévoit bien l’établissement de barrières entres les individus. La mise en place d’un protectionnisme européen que nous appelons de nos vœux, serait bien faite pour éviter les propagations de désordres provoqués par un comportement irresponsable. Nous ne sommes pas sots au point de ne pas voir l’intérêt du libre échange, mais nous le sommes encore moins lorsque nous analysons les dérèglements auxquels il conduit.
La non contamination c’est bien, mais il serait souhaitable que le pilotage de l’économie soit conçu par la mise en œuvre de mécanismes auto stabilisateurs. Une des raisons essentielles du dérèglement monétaire vient de ce que les intermédiaires et les produits financiers n’ont plus aucun lien avec la réalité. Tous les mécanismes imaginés, options, CDS, sont des mécanismes dont la relation avec le réel devient de plus en plus ténue.
Le mécanisme des stocks options est à cet égard symptomatique. Vous recevez des options sur des actions à prix déterminé, à l’avance. Si au moment d’exercer ces options le prix de l’action est inférieur, vous ne levez pas vos options et vous n’avez rien perdu. En revanche si le prix de marché est supérieur alors vous levez vos options, et récupérez une plus value sympathique. Dans ce cas un des moyens pour se raccrocher à la réalité serait d’obliger ces si fameux grands patrons qui, parait-il, ont toutes les qualités de management requises, d’investir 10% de leur revenu annuel (de plusieurs millions d’€), comme le font des milliers de patrons de PME. S’ils sont si efficaces ils auront la juste rémunération des capitaux investis de leur talent, s’ils échouent, ils auront perdu une part significative de leurs capitaux. Dans tous les domaines de la finance il existe de tels systèmes de régulation automatique et ce n’est pas le lieu ici d’en traiter, mais cette voie me parait plus prometteuse que celle d’une réglementation toujours plus contraignante à en devenir tatillonne, pour finalement ne plus gêner que les honnêtes gens. Sur le plan politique on voit bien également que les acteurs et l’Etat n’ont aucune envie de voir se rétablir un certain rapprochement entre la valeur financière et la valeur réelle, (c’est à dire la valeur rentabilisable) les banques parce qu’elles mesurent ainsi leur puissance, et l’Etat parce qu’une grande partie de la fiscalité du patrimoine en dépend. Impôts sur du vent ou puissance sur une baudruche personne ne voudra perdre l’apparence de sa pseudo richesse qui un jour ou l’autre reviendra à sa véritable nature qui est d’être de la fumée.
Inflation des valeurs d’actifs, fiscalité croissante pour faire face aux difficultés financières, tout est réuni pour une activité en tôle ondulée de faible amplitude et donc par suite un chômage qui va fluctuer autour d’une moyenne élevée. Incapables de rembourser nos emprunts, incapables de satisfaire les légitimes aspirations des Français, incapables de poursuivre la politique de redistribution avec laquelle on achète la paix sociale, nous perdrons notre indépendance économique, militaire et finalement politique. L’Allemagne et l’Angleterre, chacune poursuivant son destin (Mittel Europa et atlantiste) auront réussi grâce à l’Europe et à la pusillanimité de nos dirigeants depuis 25 ans à obliger la France à se taire.





Suppression du juge d’instruction, un vrai péril démocratique

02/09/2009 18:18

Suppression du juge d’instruction, un vrai péril démocratique


COMMUNIQUE DE PRESSE

La suppression du juge d’instruction, comme par hasard préconisée par le rapport Léger plusieurs mois après avoir été annoncée par le président de la République, pourrait s’inscrire dans une modernisation de la Justice si et seulement elle s’accompagnait de solides garanties sur l’indépendance du Parquet.
Hélas, il ne semble pas que l’Elysée s’oriente vers cette configuration, ce qui suscite de fatales et légitimes craintes quant à l’indépendance de la Justice face au pouvoir politique : chacun mesure en effet le risque qu’il y aurait à voir le gouvernement enterrer les affaires sensibles aujourd’hui confiées à des magistrats indépendants.
Sans remise en cause du lien hiérarchique entre les magistrats du Parquet et le gouvernement, ou la possibilité de recourir au moins ponctuellement à des magistrats instructeurs agissant dans un cadre totalement indépendant, la suppression du juge d’instruction serait donc une grave atteinte à la démocratie que Debout la République ne manquerait pas de combattre.
Personne n’a intérêt, pas même la majorité d’aujourd’hui qui pourrait devenir l’opposition demain, à ouvrir la voie à une telle confusion des pouvoirs, dangereuse pour les libertés tant publiques qu’individuelles.
Jean-Pierre ENJALBERT / Laurent PINSOLLE
Porte-paroles de Debout la République





Le président de toute la majorité, mais pas de tous les Français !

01/09/2009 15:53

Le président de toute la majorité, mais pas de tous les Français !


En recevant lui-même demain à l’Elysée les différentes composantes de sa majorité pour préparer les élections régionales de mars prochain, Nicolas Sarkozy franchit un nouveau pas dans le détricotage de la Vème République, lourd de conséquences pour la bonne santé démocratique du pays.
Contrairement à tous ses prédécesseurs, au premier chef le général de Gaulle, le locataire de l’Elysée, en voulant à tout prix cornaquer sa majorité, cesse d’être le président de tous les Français. La chose pourrait paraître anodine parmi les nombreuses libertés prises par le président vis-à-vis des usages habituels de sa fonction et, plus généralement, de la vie politique française. On objectera aussi que le quinquennat a profondément changé la donne, la coïncidence entre élections présidentielle et législatives renforçant encore la personnalisation du pouvoir. Pour autant, Nicolas Sarkozy se rend-il compte qu’il est en train de scier la branche sur laquelle il est assis ? Tout d’abord, en cannibalisant le rôle de son Premier ministre – ordinairement chef de la majorité au pouvoir – il déséquilibre l’édifice institutionnel, au risque de faire de la présidence une fonction de touche-à-tout qui est malsaine pour la bonne respiration démocratique du pays (sur ce point, contrairement à ce qu’affirment certains, de Gaulle lui-même se refusait catégoriquement à se mêler des détails de la gestion gouvernementale). Ensuite, Nicolas Sarkozy ne cesse de rétrécir sa légitimité présidentielle qui, dans notre République, doit incarner la Nation tout entière et non pas une fraction de celle-ci, fût-elle majoritaire au Parlement. Comment en appeler à l’union nationale dans le combat contre la crise alors qu’on se définit soi-même comme un président partisan ? Cette dérive est aussi le prix payé par la droite française qui a commis l’erreur de nier sa pluralité en encasernant ses différentes composantes dans un parti unique sans alliés ni réserves de voix. Résultat, Nicolas Sarkozy est aujourd’hui condamné à une sorte de fuite en avant sans issue : plus il rétrécit son électorat en l’embrigadant dans l’étiquette UMP, plus il a besoin de nouveaux soutiens (hier Eric Besson, aujourd’hui Philippe de Villiers) qui se dissolvent les uns après les autres dans le parti présidentiel sans enrayer durablement son érosion électorale. A telle enseigne, d’ailleurs, que certains caciques de la majorité envisagent ouvertement un changement radical de la règle du jeu en instaurant des scrutins à un seul tour, qui seraient une vraie catastrophe pour notre démocratie ! Quand donc l’actuel locataire de l’Elysée comprendra-t-il qu’il ne peut plus être un homme politique comme les autres, mais doit au contraire devenir un chef d’Etat incarnant la Nation ?
NDA





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